Miom s’arrêta et souffla, elle n’en pouvait plus. Elle leva les yeux, face à ce soleil torride, et remarqua une tâche à l’horizon : Astrub !
Elle y était presque ... enfin ! Elle remit une mèche rebelle à sa place, grignota un morceau de pain, et repartie de plus belle.
Miom est née d’une mère Osamodas, Ritonne, et d’un père Iop, Elliote. Ses deux parents se sont rencontrés lors d’une bataille, sa mère s’occupait du ravitaillement des troupes et son père était chevalier, tous les deux à la recherche d’aventure, de sensations fortes, mais surtout avide de prouver leurs valeurs. Malheureusement, Elliote est mort sur le terrain, et la jeune Osamodas qui était tombée enceinte en était effondrée. Ritonne décida donc de ne plus approché un combat de sa vie, et se retira au fin fond de la forêt d’Amakna où elle pouvait élever ses bouftous tranquillement, ainsi que sa fille. Bien qu’en grandissant la fillette avait acquis les bases en paysannerie et en boulangerie, au grand damne de sa mère, Miom avait définitivement tout hérité de son père, et plutôt que de l’aider dans ses taches quotidiennes, à 5 ans elle préférait déjà aller se cacher dans les fougères à chasser les quelques prespic qui passaient pas là !
Mais Rotinne avait tout de même réussis à lui inculquer lui la minutie et la réflexion. Ainsi le soir devant la cheminée, en sirotant des infusions, elle lui enseignait des techniques de tous genres : Miom se révéla particulièrement douée en confection de bijoux.
La donzelle était grande, svelte, avait le corps athlétique laissé en héritage par son père, mais grâce à l’éducation que lui prodigua sa mère, elle savait lire et possédait un esprit logique, contrairement à la majorité Iop, Toutefois, en moment de panique, elle retrouvait ses instincts primitifs de classe et fonçait dans le tas, c’est ainsi qu’à l’âge de 20 ans, attaquée par un Milou, elle le tua à mains nues. Quand elle ramena la proie à sa mère, cette dernière compris qu’il fallait une véritable éducation guerrière à sa petite.
La jeune écervelée, à cette nouvelle était déjà sur le pas de la porte, prête pour l’aventure, l’esprit tout chamboulé. Mais Ritonne pouvait apporter une dernière chose à sa fille, en plus de son amour et sa confiance. Elle se dirigea vers le fond de la cabane et fouilla un coffre que Miom n’avait jamais eu le droit d’approcher, elle en sortis une carte, des potions et un épée resplendissante au pommeau rouge sang ; c’était celle de feu son père !
Astrub, Astrub … enfin Astrub, voilà six mois qu’elle avait quitté son domicile, et n’ayant pas croisé grand monde pendant son périple, voir autant d’individus lui mis du baume au cœur. Flânant devant chaques boutiques, elle fini par arriver dans une taverne ! Et quelle réjouissance de pouvoir s’asseoir à une table et boire autre chose que du lait de Bouftonne.
Miom s'installa à une table et commanda une bonne bière ! Aaaaah, qu'elle était fraiche!
Au bout de la cinquième, elle commença à se plaindre de sa solitude dans sa quête. Un serveuse lui tendit un ‘Dofus mag’, page ouvert sur les recrutements; une annonce reteint particulièrement l'attention de Miom :‘LE CLAN SILVERIA, clan guerrier et mercenaire, OUVRE SES PORTES’.
Elle décida alors de tenter sa chance, demandant à la tavernière un morceau de parchemin. Quand elle eut terminé de rédiger sa lettre, elle le remis à un coursier. La Iop logerait dans une chambre de la taverne en attendant une réponse.
Sur le parchemin on pouvait lire :
Elle y était presque ... enfin ! Elle remit une mèche rebelle à sa place, grignota un morceau de pain, et repartie de plus belle.
Miom est née d’une mère Osamodas, Ritonne, et d’un père Iop, Elliote. Ses deux parents se sont rencontrés lors d’une bataille, sa mère s’occupait du ravitaillement des troupes et son père était chevalier, tous les deux à la recherche d’aventure, de sensations fortes, mais surtout avide de prouver leurs valeurs. Malheureusement, Elliote est mort sur le terrain, et la jeune Osamodas qui était tombée enceinte en était effondrée. Ritonne décida donc de ne plus approché un combat de sa vie, et se retira au fin fond de la forêt d’Amakna où elle pouvait élever ses bouftous tranquillement, ainsi que sa fille. Bien qu’en grandissant la fillette avait acquis les bases en paysannerie et en boulangerie, au grand damne de sa mère, Miom avait définitivement tout hérité de son père, et plutôt que de l’aider dans ses taches quotidiennes, à 5 ans elle préférait déjà aller se cacher dans les fougères à chasser les quelques prespic qui passaient pas là !
Mais Rotinne avait tout de même réussis à lui inculquer lui la minutie et la réflexion. Ainsi le soir devant la cheminée, en sirotant des infusions, elle lui enseignait des techniques de tous genres : Miom se révéla particulièrement douée en confection de bijoux.
La donzelle était grande, svelte, avait le corps athlétique laissé en héritage par son père, mais grâce à l’éducation que lui prodigua sa mère, elle savait lire et possédait un esprit logique, contrairement à la majorité Iop, Toutefois, en moment de panique, elle retrouvait ses instincts primitifs de classe et fonçait dans le tas, c’est ainsi qu’à l’âge de 20 ans, attaquée par un Milou, elle le tua à mains nues. Quand elle ramena la proie à sa mère, cette dernière compris qu’il fallait une véritable éducation guerrière à sa petite.
La jeune écervelée, à cette nouvelle était déjà sur le pas de la porte, prête pour l’aventure, l’esprit tout chamboulé. Mais Ritonne pouvait apporter une dernière chose à sa fille, en plus de son amour et sa confiance. Elle se dirigea vers le fond de la cabane et fouilla un coffre que Miom n’avait jamais eu le droit d’approcher, elle en sortis une carte, des potions et un épée resplendissante au pommeau rouge sang ; c’était celle de feu son père !
Astrub, Astrub … enfin Astrub, voilà six mois qu’elle avait quitté son domicile, et n’ayant pas croisé grand monde pendant son périple, voir autant d’individus lui mis du baume au cœur. Flânant devant chaques boutiques, elle fini par arriver dans une taverne ! Et quelle réjouissance de pouvoir s’asseoir à une table et boire autre chose que du lait de Bouftonne.
Miom s'installa à une table et commanda une bonne bière ! Aaaaah, qu'elle était fraiche!
Au bout de la cinquième, elle commença à se plaindre de sa solitude dans sa quête. Un serveuse lui tendit un ‘Dofus mag’, page ouvert sur les recrutements; une annonce reteint particulièrement l'attention de Miom :‘LE CLAN SILVERIA, clan guerrier et mercenaire, OUVRE SES PORTES’.
Elle décida alors de tenter sa chance, demandant à la tavernière un morceau de parchemin. Quand elle eut terminé de rédiger sa lettre, elle le remis à un coursier. La Iop logerait dans une chambre de la taverne en attendant une réponse.
Sur le parchemin on pouvait lire :
Très Cher Membres du Clan,
Lors de mon périple, je n'ai guère eu l'occasion de rencontrer des confrères ayant la même rage que moi à combattre les monstres et rendre service, et je me sens bien seule par moment. Je recherche des compatriotes aguerris.
C'est à la taverne du d'Astrub qu'une serveuse, m'ayant écouté me morfondre, m'a parler de votre Clan et je l'avoue il m'intrigue grandement.
Je suis dynamique, fidèle, droite et toujours enthousiaste, comme Iop me l'a appris. Je ne sais pas cuisiner mais pour me battre je serais là à vos cotés!
J'espère vous intéresser autant que vous me plaisez!
Grandement, Miom
Dernière édition par Miom le Ven 6 Mai - 8:29, édité 3 fois