Champs à proximité de Bonta
"Un beau jour d'été, se dit Jobran, cela fait bien longtemps que je n'en ai pas profité... Encore plus longtemps que je ne t'ai pas revue, ma douce Navina, où te trouves-tu donc..?"
Au souvenir de sa promise, Jobran se rappela du passé et des évènements récents l'ayant conduit jusqu'ici. La mort récente de sa mère, malade, n'a fait qu'augmenter son sentiment de solitude, et la vie serait devenue impossible si son frère n'était pas là pour l'épauler de temps en temps... Son frère, illustre artisan de Bonta qui s'était spécialisé dans la création d'équipements, lui tenait compagnie lorsqu'il avait du temps libre.
Jobran se leva et se remit en route. Où va-t-il ? Il ne le sait pas lui même. Ce qu'il veut? Retrouver sa raison de vivre, son amour, Navina, la sadidette dont l'âme a été dérobée par un enchanteur, pour le punir de sa curiosité. Jobran se rappelle avec peine de ce jour...
Amakna, un an plus tôt
Jobran et Navina se promenaient Amakna. Où aller ? Il s'en fichent, tant qu'ils sont ensemble... Mais pourquoi, pourquoi cet impétueux Crâ a-t-il tenté le diable, pourquoi avoir pénétré dans un atelier qui ne lui appartenait pas, et pourquoi avoir défié les dieux? Navina lui avait dit de s'en aller, que c'était dangereux... Il ne l'écouta pas, et au retour du propriétaire des lieux, celui-ci les attaqua... Lâcheté ou réflexe? Jobran se détourna du sort, et Navina le prit en plein fouet, perdant conscience. Jobran la transporta et s'en alla, mais il était trop tard... Elle était vivant, mais son âme n'était plus, et même les meilleurs enchanteurs n'ont pu l'aider.
Otomaï
Son seul recours était Otomaï, cet enchanteur reconnu de tous, aux grands pouvoirs. Jobran réussit à atteindre son laboratoire perché en hauteur.
Le verdict tomba : aucune magie ne pourra la sauver, il faut une grande force que peut d'objets peuvent dégager... Enfin si, mais cela était très dangereux, et Jobran n'avait sûrement pas les épaules assez larges pour porter ce poids : la puissance des 6 véritables Dofus réunis pourra être suffisante pour sauver Navina.
Ni une, ni deux, et connaissant le danger que cela représente, il se lança dans cette quête, pour sauver sa bien aimée, pour laver sa faute, et pour trouver la rédemption...
Mais on ne peut pas tout faire seul, et Jobran avait besoin d'aide, d'amis, de soutien, et gens de confiance.
Ayant rejoint Bonta pour des raisons économiques et marchandes (récolter des ressources de certaines régions dirigées par Bonta), il ne trouva pas l'aide espérée dans ses frères d'armes, ceux-ci se préoccupant plus de leurs exploits individuels...
Encore sans espoir...
Jusqu'au jour où il entendit parler d'une guilde qui pourrait l'aider, régie par des codes et ayant un certain sens du devoir et de l'honneur.
Il se devait de les rejoindre, et de leur faire parvenir sa candidature... Sera-t-elle positive? Il l'espère, car même si l'espoir fait vivre, il ne lui en reste plus sans sa raison de vivre...
Il trouva leur quartier, et commença à rédiger sa lettre :
Lettre de candidature
Je me nomme Jobran, j'ai environ 17 printemps, je suis un fervent serviteur de Crâ, et grâce aux travaux effectués à mon jeune âge, j'ai acquis beaucoup de force et d'agilité. Je suis de cercle 101, et ce ne sera pas de trop pour mettre la main sur ces fichus oeufs, mon seul espoir.
Les années précédant mon drame, je me suis accoutumé aux mines sombres mais aussi aux grandes forêts, ce qui me donne une grande maîtrise de ces métiers. Je servirai la guilde du mieux que je pourrais, et j'attendrais en retour une aide, une fois mes preuves faites auprès de vous.
J'attendrais une réponse favorable de votre part, et je n'en serais que plus heureux, car je recherche de la compagnie, une amitié sincère et une confiance que je ne pourrais trouver ailleurs.
Cordialement, Jobran
Jobran déposa le parchemin auprès de l'homme, et reprit sa route. Leur réponse, quelle qu'elle soit, lui parviendra sûrement au plus vite.
"Un beau jour d'été, se dit Jobran, cela fait bien longtemps que je n'en ai pas profité... Encore plus longtemps que je ne t'ai pas revue, ma douce Navina, où te trouves-tu donc..?"
Au souvenir de sa promise, Jobran se rappela du passé et des évènements récents l'ayant conduit jusqu'ici. La mort récente de sa mère, malade, n'a fait qu'augmenter son sentiment de solitude, et la vie serait devenue impossible si son frère n'était pas là pour l'épauler de temps en temps... Son frère, illustre artisan de Bonta qui s'était spécialisé dans la création d'équipements, lui tenait compagnie lorsqu'il avait du temps libre.
Jobran se leva et se remit en route. Où va-t-il ? Il ne le sait pas lui même. Ce qu'il veut? Retrouver sa raison de vivre, son amour, Navina, la sadidette dont l'âme a été dérobée par un enchanteur, pour le punir de sa curiosité. Jobran se rappelle avec peine de ce jour...
Amakna, un an plus tôt
Jobran et Navina se promenaient Amakna. Où aller ? Il s'en fichent, tant qu'ils sont ensemble... Mais pourquoi, pourquoi cet impétueux Crâ a-t-il tenté le diable, pourquoi avoir pénétré dans un atelier qui ne lui appartenait pas, et pourquoi avoir défié les dieux? Navina lui avait dit de s'en aller, que c'était dangereux... Il ne l'écouta pas, et au retour du propriétaire des lieux, celui-ci les attaqua... Lâcheté ou réflexe? Jobran se détourna du sort, et Navina le prit en plein fouet, perdant conscience. Jobran la transporta et s'en alla, mais il était trop tard... Elle était vivant, mais son âme n'était plus, et même les meilleurs enchanteurs n'ont pu l'aider.
Otomaï
Son seul recours était Otomaï, cet enchanteur reconnu de tous, aux grands pouvoirs. Jobran réussit à atteindre son laboratoire perché en hauteur.
Le verdict tomba : aucune magie ne pourra la sauver, il faut une grande force que peut d'objets peuvent dégager... Enfin si, mais cela était très dangereux, et Jobran n'avait sûrement pas les épaules assez larges pour porter ce poids : la puissance des 6 véritables Dofus réunis pourra être suffisante pour sauver Navina.
Ni une, ni deux, et connaissant le danger que cela représente, il se lança dans cette quête, pour sauver sa bien aimée, pour laver sa faute, et pour trouver la rédemption...
Mais on ne peut pas tout faire seul, et Jobran avait besoin d'aide, d'amis, de soutien, et gens de confiance.
Ayant rejoint Bonta pour des raisons économiques et marchandes (récolter des ressources de certaines régions dirigées par Bonta), il ne trouva pas l'aide espérée dans ses frères d'armes, ceux-ci se préoccupant plus de leurs exploits individuels...
Encore sans espoir...
Jusqu'au jour où il entendit parler d'une guilde qui pourrait l'aider, régie par des codes et ayant un certain sens du devoir et de l'honneur.
Il se devait de les rejoindre, et de leur faire parvenir sa candidature... Sera-t-elle positive? Il l'espère, car même si l'espoir fait vivre, il ne lui en reste plus sans sa raison de vivre...
Il trouva leur quartier, et commença à rédiger sa lettre :
Lettre de candidature
Je me nomme Jobran, j'ai environ 17 printemps, je suis un fervent serviteur de Crâ, et grâce aux travaux effectués à mon jeune âge, j'ai acquis beaucoup de force et d'agilité. Je suis de cercle 101, et ce ne sera pas de trop pour mettre la main sur ces fichus oeufs, mon seul espoir.
Les années précédant mon drame, je me suis accoutumé aux mines sombres mais aussi aux grandes forêts, ce qui me donne une grande maîtrise de ces métiers. Je servirai la guilde du mieux que je pourrais, et j'attendrais en retour une aide, une fois mes preuves faites auprès de vous.
J'attendrais une réponse favorable de votre part, et je n'en serais que plus heureux, car je recherche de la compagnie, une amitié sincère et une confiance que je ne pourrais trouver ailleurs.
Cordialement, Jobran
Jobran déposa le parchemin auprès de l'homme, et reprit sa route. Leur réponse, quelle qu'elle soit, lui parviendra sûrement au plus vite.